L’Antenne est à nous

En 1953, la France comporte moins de 60 000 postes recensés, trois régions seulement étant couvertes. L’émission recevra pourtant rapidement 8000 lettres par semaine[1]. L’ouvrage précise que ce chiffre inattendu s’expliquait par l’écoute alors collective, les enfants du voisinage étant volontiers invités chez la famille du quartier qui possédait la télévision.